Posté par traverse le 9 janvier 2007
Sur elle un frisson de la paume du sommeil jusqu’aux cercles du sang, c’est la saison éteinte des souffles et des langues, dans l’entrelacs des tissus, des mots et des caresses vagues où il pose du temps dans la respiration des hanches, des seins, de la géographie et des impasses de velours.
Cet article a été publié le Mardi 9 janvier 2007 à 16:34 et est catégorisé sous Textes.
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Il faut être conscient que ces régions respirent pour constater le souffle qui y ballait le temps automatiquement et régulièrement.
En effet, le temps ne peut résider dans ces régions, il y coule, y passe et y traverse sans pause permise.
Chacun sa route chacun, son chemin et chacun son escale.