D’elle je n’attends plus
Posté par traverse le 19 mai 2007
D’elle je n’attends plus ni fax, ni sms, ni mail, tous ces mots d’une langue d’abandon, sa voix est lointaine désormais et je connais des pays où elle passe pour des encouragements mais le temps des clairons et des colères de cuivre est un temps qui file dans le reste, dans cette vague histoire où je reviens chaque jour en me promettant des vies incertaines.
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