Mes ateliers d’écriture à la Maison du Livre
Posté par traverse le 10 juillet 2011
Dessin Christine Mobers
www.lamaisondulivre.be
Un STAGE
Récits de voyages
Ecrire avant ou après, écrire pendant et que faire des notes ? Un voyage passe toujours par le rêve du voyage, et les photos et autres films ne suffisent pas à creuser le sentiment du voyage accompli ou projeté. Il s’agit à chaque fois de croiser des façons de se rendre là où on rêve d’aller confusément. Et l’écriture peut aussi passer par des formes métissées (sous la forme du Carnet de voyage).
En une soirée et un week-end, nous allons écrire ce fameux voyage qui nous capte et nous fascine. Ecrire, coller, passer au montage, voilà les étapes que vous choisirez librement pour ramasser ces fameuses poussières de voyages qui font le chemin sur lequel nous allons…de notre chambre à l’infini.
Ordinateurs, bidules numériques et autres machins TICS bienvenus.
Animé par : Daniel SIMON, écrivain, formateur et éditeur
www.traverse.be
Dates : vendredi 30 septembre de 18h à 20h
samedi 1er et dimanche 2 octobre de 10h à 17h
Public : adultes
Prix : 110 euros, acompte de 60 euros, possibilité de payer le solde en effectuant 1 versement de 50 euros ou 2 de 25 euros
Nombre maximum de participants : 12
Atelier de Récit de vie
Ecrire à partir de soi ? Ecrire un récit de vie suppose que l’on puise volontairement en soi les éléments et les circonstances du récit.
Cette dynamique d’écriture invite aussi à travailler une forme. Rien ne se livre sans traitement, aucune écriture sans point de vue, sans « résonances internes »… De quoi s’agit-il donc quand j’écris mon récit en je ou en il ou elle ? Pourquoi écrire mon récit de vie? Pour de multiples raisons, bien sûr, mais souvent pour transmettre, établir un bilan, écrire sans le malaise de l’imagination apparemment en panne… C’est aussi poursuivre en dix séances
l’exigence et le partage des lectures, des conversations critiques, des explorations, des nouvelles pistes… Enfin, il s’agit de soutenir chez chaque participant de l’atelier une volonté d’aboutir à un résultat : créer une dynamique d’écriture… Nous tenterons de jouer au « Petit Poucet » perdu dans la forêt cherchant sa piste dans les pierres du chemin…
Animé par : Daniel SIMON, écrivain, formateur et éditeur
www.traverse.be
Dates : 10 jeudis de 18h à 21h
Octobre : 6, 13, 20, 27
Novembre : 10, 17, 24
Décembre : 1, 8, 15
Public : adultes
Prix : 190 euros, acompte de 90 euros, possibilité de payer le solde en effectuant 2 versements de 50 euros ou 4 de 25 euros
Nombre maximum de participants : 12
Ecrire des récits de vie en Atelier
Ecrire dans le cadre d’un atelier d’écriture (dans le lieu ou chez soi…), c’est accepter de dévoiler une part de son récit, de le faire résonner aux oreilles des autres, d’en attendre bienveillance et exigence, de donner attention et liberté à chacun et à tous. Quelles que soient les différences de style, de manières, de « qualité littéraire ». Mais pour que cela fonctionne, chacune et chacun se doit de participer sans cette bizarre inquiétude de la comparaison, sans reste dans le retrait de la parole alors que les autres s’engagent. C’est partager et prendre ce risque adulte. Chaque groupe est différent, chaque groupe dynamise donc différemment ce sentiment d’autorisation que l’atelier doit accueillir.
Des textes, ce ne sont que des balises pour tracer une voie subtile vers un endroit du lecteur qu’il ne connaît pas encore. Cet endroit précis qui, n’existe que dans l’écriture et la littérature. Un endroit qui n’est pas réel mais plus que le réel. Un endroit où la vie et ses remugles deviennent un peu plus audibles. Pas plus claire, bien sûr, rien n’est clair. Sauf pour les croyants en une « bonne manière » d’écrire. L’écriture se moque des bonnes et belles manières, par contre elle exige le son juste, l’expérience revisitée, souvent revécue et enrichie de ce temps pris sur le temps qu’exige l’écriture…
Dans le récit de vie, tellement de croyances : « C’est vrai, je n’ai rien inventé, ça s’est passé comme ça,… » Il suffit d’interroger ces belles et fumeuses croyances et soudain, tout s’effondre, plus d’affirmation mais une mise en scène du souvenir d’un réel qui n’a pas existé tel que raconté mais qui existe maintenant tel que raconté…
Dans un atelier d’écriture, des mots achoppent, des questions poussent au bord des lèvres et pourtant il ne s’agit pas de franchir certaines frontières qui touchent à l’histoire de la personne. Les seules informations sont celles du récit. Et c’est plus que ne pourrait en dire l’auteur (e), beaucoup plus. Les lieux communs sont les paroles les plus prudentes que nous ayons pour nous prémunir de la connaissance de soi et du monde ; mais le monde entre en nous, malgré nous, se loge dans des zones de mémoire que l’écriture réélectrise.
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