Après la mollesse
Posté par traverse le 27 décembre 2011
De pauvres plaintes contre Noël et autres fariboles, sur FBook, sur le Net, dans les conversations courantes, des jeux de mots faciles, des attaques de buches et de foie gras contre…
Etrange, moi qui ne suis ni de Noël, ni de bien des Fêtes (comme le dégoût me saisit devant l’homo festivus (Muray), qui est la version douce et vulgaire des danses de Mort du Moyen Age…), je suis sans voix devant la mollesse des positions.
Rien de grave, rien de l’ordre du solstice, rien de l’ordre d’une pauvreté appelée avec Indignation sur tous les Médias. Quand le Tsunami est là, la critique se range sous la bannière de la mollesse et du consentement, mais en creux.
La vague est passée, la Fête prochaine est annoncée, des plaintes rose bonbon vont fleurir comme des nénuphars à la surface du Web. Les victuailles ne manquent jamais au banquet des plaintifs.
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