Quand vous serez dans d’innombrables pertes
Posté par traverse le 6 février 2012
Quand vous serez dans d’innombrables pertes à peine reconnues de vous, que vous serez rejoint par la grâce oublieuse qui vous saisit la veine où battit le désir des conquêtes, que vous irez dans des joies tristes et sourdes jusqu’au cœur des énigmes qui sont de se voir en-dehors du dedans si plein et si bruyant d’un vocabulaire adoubé de grammaire et de style, empoté que se donnent les vainqueurs au centre de la piste, le nez tendu vers l’incertain et l’œil qui tombe sur le nez, quand vous serez élevé au rang des impatiences éteintes et que vous donnerez de vos nouvelles sans attendre des nôtres, quand vous serez.
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